Mois de la Sainte Famille Troisième jour

Mois de la Sainte Famille
Troisième jour

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La famille sans Dieu
Les ennemis de la religion sont par là même les ennemis de la société et de la famille qui en est le fondement.
Créée par Dieu, la famille ne saurait subsister et prospérer sans lui.
Leur mot d'ordre est : «pas de prêtre à la naissance, pas de prêtre à l'école, pas de prêtre au mariage, pas de prêtre à la mort. »
Hélas ! l'expérience n'a que trop montré, et ses leçons deviennent de plus en plus éloquentes, ce que peut produire de désastreux pour la famille cette privation de Dieu, cette sorte de peine du dam qu'on veut lui imposer.
Jésus-Christ n'est il pas la vigne à laquelle tout sarment doit rester uni sous peine de perdre la vie et de devenir un bois sec destiné au feu ?
Pour apprécier les bienfaits de la religion chrétienne à l'égard de la famille. il suffit de jeter un regard sur la triste condition de la société domestique au sein du paganisme : le mari n'est qu'un tyran brutal, la femme une esclave avilie, l'enfant un animal, que l'on détruit ou que l'on conserve selon qu'il est bien ou mal constitué.
Jésus-Christ parait, aussitôt le chef de la famille connaît ses devoirs envers son épouse qu'il doit honorer, aimer et protéger comme son égale, et envers ses enfants qu'il doit élever, dans le sacrifice de sa vie, pour la patrie, pour l‘Église et pour le ciel.
Laissez donc Jésus-Christ entrer dans vos foyers ; il y apportera le respect, l'amour, la modération, le support mutuel, l'abnégation,  l'obéissance, en un mot les éléments de la paix et du bonheur. 
Exemple
M. de Mairan, de l'Académie des sciences, raconte qu'il avait connu à Béziers un libre penseur, père de trois enfants, deux garçons et une fille, auxquels il donna une éducation étrangère à tout sentiment religieux, prétendant les élever par les seules lumières de la raison.
Quelles en furent les conséquences ?
Ces enfants perdirent tout respect pour les auteurs de leurs jours, se livrèrent au libertinage, aux jeux, aux excès de tout genre. Leur mère mourut de chagrin, et, aussitôt se partageant l'héritage qui leur en revenait, ils laissèrent leur père dans la misère. Le Fils ainé périt sur l'échafaud, la fille finit ses jours dans un hospice de mendicité, et le second fils, abandonné d'une épouse infidèle, tomba à son tour dans la misère et la honte. Accablé de remords, le malheureux père en perdit la raison.
Pratique
Puiser dans les pratiques de piété la force de remplir fidèlement tous les devoirs de sa condition.







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