Origine du mois du Sacré Cœur

Origine du mois du Sacré Cœur

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PRÉFACE
ORIGINE DU MOIS DU SACRE CŒUR
Le mois du Sacré Cœur fut la pensée et l'œuvre d'une enfant dont le naturel ardent, élevé, impétueux, fut en quelque sorte transformé par la religion, surtout par l'amour des pauvres et la dévotion à la sainte Vierge : Angèle de Sainte-G.
« Elle avait passé plus de huit ans au couvent sans avoir pu obtenir le seul titre qu'elle ambitionnât : celui d'Enfant de Marie. 
Que faire pour toucher le Cœur de la sainte Vierge, et par elle celui desassociées ?
—Suggérez-moi donc, dit-elle à l'une des religieuses qui avait sa confiance, tout ce qu'il est possible d'inventer et de faire pendant lemois de Marie, et je l'exécuterai pour obtenir mon entrée dans la congrégation.
— II me semble, répondit la Mère, qu'un moyen de plaire au cœur de Marie est d'honorer celui dessus ; le priez-vous tous les jours ?
— Oui, ma Mère ; il y a déjà longtemps que je ne passe aucun jour sans répéter l'acte de consécration qui se trouve dans nos cantiques. C'est, je crois, ce qui a contribué à m'inspirer un peu d'amour pour le sacré Cœur et de zèle pour le faire connaître aux autres. Je ne sais même pas trop pourquoi, avec la grâce d'être enfant de Marie, je n'ai pas demandé autre chose à la sainte Vierge, pendant ce mois, qu'une grande dévotion au sacré Cœur. Au fait, ce matin, dans mon action de grâces après la sainte communion, je me suis demandé pourquoi il n'y aurait pas un Mois Du Sacré Cœur comme il y a un mois de Marie. 
— Rien ne s'y oppose, ce me semble ; mais il faut un livre, et il n'en existe pas ; il faudrait proposer cet acte de dévotion au pensionnat, et aviser aux moyens sûrs de le faire agréer. 
Après avoir bien débattu ces deux points, Angèle, qui n'avait pas encore le cordon d'honneur, fut d'avis de laisser au premier médaillon de sagesse le soin de faire les avances auprès de ses compagnes.
"Ainsi, ajoutait-elle, cette proposition aura plus de poids, et personne ne saura de qui en vient l'idée, si ce n'est le bon Dieu et la sainte Vierge, à qui je désire uniquement plaire."
Restait à trouver pour chaque jour un sujet de lecture, une consécration au sacré Cœur, une pratique et une oraison jaculatoire, pour que ce mois fût en quelque sorte calqué sur le mois de Marie. Pour cela, il ne s'agissait que de choisir provisoirement dans les meilleurs auteurs qui ont traité de cette dévotion. Chaque jour du mois de Marie reçut donc l'hommage de l"un des jours du mois du sacré Cœur.
Mais pour introduire ce nouveau mode d'honorer le Cœur de Jésus, il fallait une autorisation, et le temps pressait ; car Angèle voulait que ce nouveau mois fût commencé à l'issue du mois de Marie de cette même année 1834.
Toute permission lui est donnée de faire elle-même ses propositions à Mgr de Quelen, qui devait venir le 20 mai : « car, ajoutait la supérieure, à qui elle s'était adressée, l'entreprise est toute vôtre, et je vous la laisserai conduire seule. »
Cet arrangement ne plaisait qu'à demi à notre petit apôtre du sacré Cœur, qui eût bien voulu se voir appuyé dans ses démarches par quelques voix respectables ; mais il prit bravement son parti : le sacré Cœur, la sainte Vierge l'aideraient ; et puis Monseigneur était si bon !
Le 20 mai arriva enfin. Monseigneur vint célébrer le saint sacrifice à la chapelle des enfants de Marie ; dans la matinée, il voit toute la famille.
Angèle cependant s'occupait de son grave projet, épiant le moment favorable.
Encouragée par un signe de la supérieure, elle s'avance et expose le sujet de sa requête.
Elle fut accueillie au delà de ses espérances.
Non seulement Monseigneur ne se fit point prier, mais il autorisa le nouveau mois avec cette grâce, avec ces expressions bienveillantes qui tombaient si naturellement de sa bouche : Nous le ferons, ajouta-t-il, pour la conversion des pécheurs et pour le salut de la France.
Je laisse à juger combien cette dernière intention devait ajouter à la ferveur. Monseigneur, non content d'approuver l'idée du mois du Sacré Cœur, voulut encore lui-même en régler les pratiques.
— Afin, dit-il, de ne pas faire d'innovation, nous suivrons la coutume déjà établie d'honorer par trente-trois jours de prières les trente-trois années de la vie de Notre-Seigneur.
Il y aura un numéro assigné à chacun de ces jours, dont le premier sera cette année le 1er juin, afin, que le dernier tombe le second dimanche de juillet, désigné dans le diocèse pour célébrer la fête du Sacré Cœur de Jésus, à laquelle ces exercices serviront de préparation. 
Chaque numéro sera assigné par le sort aux religieuses et aux élèves de la maison, et même aux personnes du dehors qui désireront honorer ainsi le sacré Cœur. 
Chacune s'efforcera surtout de remplir le jour qui lui sera échu par toutes sortes de bonnes œuvres, communions, prières, mortifications, actes de vertu, etc. 
Enfin, ajouta Monseigneur en terminant, tous les vendredis de ce mois, je vous permets le salut du saint Sacrement ; et tenons-nous-en là pour cette année ; car plus tard qui sait ?
Angèle était au comble de la joie ; son ambition ne s'était pas portée si haut, et ces derniers mots : « Plus tard qui sait ? » sortis de la bouche d'un saint, lui donnérent l'espoir, ainsi qu'elle le disait, qu'un jour ce nouveau mois du Sacré Cœur pourrait être célébré avec autant de ferveur et de publicité que le mois de Marie.


Le 11 juin arrivé, les élèves, qu'Angèle n'avait pas eu de peine à faire entrer dans ses vues, commencèrent donc solennellement ce mois de leur choix. A l'issue de la messe se faisait chaque jour l'acte de Consécration au sacré Cœur, suivi de la lecture de quelqu'un des passages recueillis sur cette dévotion ; on terminait par le chant du Cor Jesu, qui remplaçait aussi le Monstra te au commencement des principaux exercices de la journée.
Durant tout le mois, un cantique en l'honneur du Cœur de Jésus, chanté au commencement de la messe, venait rappeler les hommages qu'on se proposait de lui rendre.
Dès la veille, la maîtresse du pensionnat s'était occupée de placer dans chaque classe, au-dessus du petit autel consacré à Marie, l'image en relief du sacré Cœur de Jésus couronné d'épines et surmonté d'une croix. Autour se lisait cette devise : Gloire et amour aux sacrésCœurs !
Cette exposition nouvelle, quoique fort simple, rappela souvent à plus d'une enfant ses bonnes résolutions.
Angèle, au reste, ne les leur laissait pas oublier.
Tous les vendredis, pendant le déjeuner, et plus souvent, si besoin était, notre prédicateur montait au réfectoire dans la chaire de la lectrice, et de là faisait entendre ses homélies, plus attentivement écoutées et mieux accueillies peut-être que Ies discours de bien des orateurs.
Il faut dire qu'Angèle prêchait par l'exemple, de toutes les leçons la plus efficace ; aussi le zèle avec lequel chacune se portait à remplir la fonction de réparatrice, au jour qui lui était indiqué par le sort, était-il vraiment édifiant.
Il avait été statué par notre petit missionnaire que toutes celles à qui était échu le même numéro se réuniraient la veille ; là on convenait des pratiques particulières qu'on ajouterait à celles qui étaient communes à toute la maison.
Au jour assigné, on s'efforçait de s'entretenir dans un esprit de recueillement et d'adoration perpétuelle au milieu même des études et des jeux ordinaires.
Les plus jeunes, privées du bonheur de s'approcher de la Sainte Table, y suppléaient autant que possible par la communion spirituelle.
Ce beau mois, célébré avec tant de ferveur, se termina cette année (1834) le 15 juillet ; toute la maison se rendit à la chapelle des enfants de Marie pour la clôture.
On ne pouvait mieux faire que d'honorer Jésus par Marie, et l'on voulait ne pas oublier que c'était à la sainte Vierge qu'était due l'idée de ce mois. 
Là, après la consécration au sacré Cœur, on brûla avec l'encens au pied de l'autel les billets qui contenaient le nombre d'actes de vertu pratiqués chaque jour par la petite famille. 
Le chant d'un cantique au sacré Cœur accompagna ce pieux holocauste, dont la simplicité dut plaire à la meilleure des mères.
Telle fut l'humble origine de cette salutaire pratique de dévotion. » (Vie d'Angèlede Sainte-C, comtesse de P; chez Poussielgue-Kusand.)
APPROBATION
MONSEIGNEUR L'ARCHEVÊQUE DE PARIS
Nous avons approuvé et approuvons par les présentes la publication d'un livre de piété, du format in-32, ayant pour titre Mois du Sacré Cœur de Jésus, lequel a été soumis à notre examen par l'éditeur, le sieur Poussielgue-Rusand, libraire à Paris.
Nous croyons ce petit ouvrage propre à augmenter la dévotion des fidèles envers Notre-Seigneur Jésus-Christ, et nous désirons qu'il puisse produire ce fruit de salut.
Donné à Paris, sous le seing de notre vicaire général, le sceau de nos armes et le contre-seing du secrétaire de notre archevêché, le 21 mai 1836.
Tresvaux , vicaire général.
Par mandement de Monseigneur :
Molinier, chan., secrétaire.
 AVIS
La fête du Sacré Cœur de Jésus, d'après laquelle on s'était réglé jusqu'à présent pour commencer le mois destiné à l'honorer, n'étant pas fixée au même jour dans tous les diocèses, les explications données n'avaient pas été généralement comprises, et l'on ne pouvait se trouver en union de prières ; désormais on engage donc les fidèles à commencer le mois le 1er juin.
GLOIRE ET AMOUR
AUX SACRES CŒURS DE MARIE ET DE JÉSUS
SUPPLIQUE A LA TRÈS-SAINTE VIERGE MARIE
MÈRE DE DIEU, TOUJOURS IMMACULÉE
O Marie ! la tendre mère, l'avocate et le refuge des pauvres pécheurs, par qui nous sont venus tous les biens, si nous avions été assez heureux pour vous procurer quelque gloire en faisant connaître de plus en plus le Cœur de votre divin fils par ce petit recueil, qu'il nous serait doux de le déposer a vos pieds ! Mais puisqu'il appartient à vos serviteurs dans les écrits desquels nous l'avons puisé, ne permettez pas du moins qu'il perde, en passant par nos mains, toute son onction et tous les fruits qu'il pourrait produire.
0 Cœur de notre mère, de la Mère de notre Dieu, le premier sanctuaire, le premier autel où s'immola le cœur de Jésus, vous êtes le seul Cœur digne de lui être uni, le seul qui ayez pénétré les secrets de son amour, que nous n'apercevons qu'à travers les ténèbres de la foi, et que dérobent encore chaque jour à nos yeux les ténèbres bien plus déplorables de nos péchés.
0 Cœur de Marie ! daignez instruire vous-même tous ceux qui chercheront à aimer le Cœur de votre fils ;
daignez les introduire dans ce sanctuaire du salut, dans cette forteresse dont l'ennemi ne saurait approcher, et à l'abri de laquelle nul ne saurait périr.
Ah ! pourquoi tous ne veulent-ils pas entrer dans ce divin Cœur, puisqu'il est ouvert à tous, et que vous inventez chaque jour, ô doux refuge des pécheurs ! de nouveaux moyens de les y introduire ?
Car ne dirait-on pas que vous multipliez vos bienfaits à mesure que nous multiplions nos crimes ?
Qu'au moins, ô Marie ! tous ceux qui ont pénétré dans ce divin Cœur, qui désirent y habiter et qui y habiteront, n'en sortent jamais !
Soyez vous-même, ô la meilleure de toutes les mères, la gardienne de cette sainte demeure, et maintenez-y tous vos enfants.
Que tous les jours de notre vie nous honorions et aimions autant qu'il est en nous ce Cœur sacré uni au vôtre,
que l'ardeur de notre foi, de notre dévouement et de nos respects, répare les outrages dont l'affligent chaque jour ses ennemis, et qu'il ne soit pas dit que leur haine impie soit plus puissante que notre amour ?
Que les cœurs de tous ceux qui vous sont dévoués, ô sacrés Cœurs de Jésus et de Marie ! brûlent sans cesse du feu de Totre amour ;
qu'ils soient tous comme autant d'autels où vous soyez offerts vous-mêmes continuellement à Dieu le Père, comme le seul holocauste digne de lui !

 0 Marie, bénissez comme vos enfants chéris et bien-aimés tous ceux qui sont dévoués au Cœur de votre fils.
Ainsi soit-il dans le temps et dans l'éternité !

 MOIS DU SACRÉ CŒUR DE JÉSUS
PRATIQUE DU MOIS DU SACRÉ COEUR.
Cet exercice de dévotion au sacré Cœur de Jésus, établi sur le modèle du Mois de Marie, a pour fin principale d'honorer les trente-trois années que Jésus-Christ a passées sur la terre, et qu'il a consacrées tout entières au salut des hommes comme à la gloire de son Père ; c'est pourquoi l'on a porté jusqu'au nombre de trente-trois les jours qui doivent composer le Mois du Sacré Cœur de Jésus,
Voici comment on peut pratiquer cette dévotion.
D'abord on récite chaque jour avec ferveur l'Acte de Consécration au Sacré Cœur de Jésus ci-après indiqué ; vient ensuite une considération, qui peut servir de sujet de méditation, et qui se termine, par une oraison jaculatoire, qu'on répétera plusieurs fois dans la journée ;
2° par une pratique analogue au sujet de la considération ; 
3° par une triple invocation aux sacrés Cœurs de Jésus et de Marie.


On peut faire cet exercice dans tous les temps de l'année, en particulier ou en commun, selon l'attrait de sa dévotion ; mais l'époque la plus favorable nous semble être le mois de juin, dans lequel se rencontre le plus souvent la fête du Saint Sacrement, et toujours celle du Sacré Cœur de Jésus.
Il succéderait ainsi au mois de Marie, qui lui servirait de préparation et d'introduction.
Nous ne craignons pas d'assurer que les âmes pieuses y trouveront un puissant moyen d'avancement dans la pratique des vertus chrétiennes, de l'humilité, de la douceur, de la pureté, mais surtout de l'amour divin, qui est l'âme de toule la religion, et dont la dévotion au Sacré Cœur de Jésus renferme l'exercice le plus parfait.
Comme on sait le pouvoir qu'ont auprès de Dieu les prières faites en commun, on engage les âmes pieuses à se réunir autant que possible pour s'acquitter de cet exercice.
De plus, afin de rendre au Cœur de Jésus tous les hommages qu'il a droit d'attendre de nous, on pourrait, avec les personnes de sa connaissance, ou en se réunissant à des communautés religieuses, tirer au sort chacun des jours de ce mois, et, le jour qui serait échu, faire la sainte communion en l'honneur du sacré Cœur ; pratiquer aussi deux ou trois actes de vertu à son choix, se regardant ce jour-là comme chargé de rendre au Cœur de Jésus tout l'honneur et tout l'amour qui lui est dû par tous les cœurs. On pourrait encore s'unir à de pieux ecclésiastiques qui voulussent bien dire, s'ils le pouvaient, la messe du Sacré Cœur le jour qui leur serait échu, ou tout au moins en faire mémoire. De cette façon le sacré Cœur de Jésus serait chaque jour honoré de la manière qui lui est la plus agréable, puisque nous ne pouvons douter que l'adorable sacrifice et la sainte communion ne soient, de tous les actes de religion, les plus glorieux à Dieu comme les plus profitables aux fidèles.
Une objection s'est présentée de la part des serviteurs dévoués de la sainte Vierge, et elle ne nous a pas étonné, puisque nous aussi nous avions conçu un instant cette crainte : Ce nouveau Mois, a-t-on dit, fera tort au Mois de Marie. S'il fallait qu'en effet ce mois pût ralentir le dévouement à la sainte Vierge, nous ne craignons pas de le dire, nous serions le premier à l'abandonner.
Et par qui les pauvres pécheurs iraient-ils donc à Jésus, si Marie leur manquait ? Mais ce mois, nous en avons la confiance, c'est Marie elle-même qui l'a inspiré ; c'est le désir de glorifier Marie par le Cœur de Jésus qui suggéra à l'un des cœurs les plus dévoués à la sainte Vierge cet hommage nouveau à son divin fils.

 Et d'ailleurs, quel est le but du culte rendu à Marie, si ce n'est d'obtenir par elle la faveur de son fils ? Quel est son premier titre à notre vénération, à notre amour ? N'est-ce pas celui de Mère de Jésus ? Pourquoi Dieu l'a-t-il rendue si grande, si parfaite, si miséricordieuse, si puissante, sinon parce qu'elle devait être la mère de Celui par qui nous sont venus tous les biens ? Si Marie elle-même daignait nous faire connaître les désirs de son Cœur, si cette voix qu'elle sait si bien faire entendre au cœur de ceux qui l'aiment retentissait à nos oreilles, que demanderait-elle de nous ? que nous prêcherait-elle ? La connaissance, l'amour de Jésus. Or, si la dévotion au Sacré Cœur est un des moyens les plus prompts, les plus eflicaces pour arriver à ce but, ne sommes-nous pas assurés qu'en l'honorant nous honorons Marie, nous répondons à l'un des désirs les plus ardents de son Cœur ? et n'est-ce pas dire assez à qui lui est dévoué ?

 ACTE DE CONSÉCRATION AU SACRÉ CŒUR DE JÉSUS
A RÉCITER CHAQUE JOUR PENDANT LE MOIS
« 0 Jésus ! je vous consacre mon cœur, placez-le dans le vôtre.
C'est dans votre Cœur que je veux habiter, et par votre Cœur que je veux aimer ;
c'est dans votre Cœur que je veux vivre inconnu du monde et connu de vous seul ;
c'est dans ce Cœur que je puiserai les ardeurs de l'amour qui doit consumer le mien ;
c'est en lui que je trouverai la force, la lumière, le courage, la véritable consolation.
Quand je serai languissant, il m'animera ; triste, il me réjouira ; inquiet et troublé, il me rassurera.
0 Cœur de Jésus, que mon cœur soit l'autel de votre amour ; que ma langue publie votre bonté ;
que mes yeux soient sans cesse fixés sur votre plaie ;
que mon esprit médite vos perfections adorables ;
que ma mémoire conserve à jamais le précieux souvenir de vos miséricordes ;
que tout en moi exprime mon amour pour votre Cœur, ô Jésus, et que mon cœur soit prêt pour vous à tous les sacrifices.


O Cœur de Marie ! après le Cœur de Jésus le plus aimable, le plus compatissant, le plus miséricordieux de tous les cœurs, présentez au Cœur de votre fils notre consécration, notre amour, nos résolutions.
Il s'attendrira sur nos misères, il nous en délivrera ;
et après avoir été notre protectrice sur la terre, ô Mère de Jésus ! vous serez notre reine dans les cieux.
Ainsi soit-il.




 Sainte Marguerite-Marie Alacoque
Paray Le Monial

 - L'apparition de Jésus à Sainte Marguerite-Marie Alacoque
 - La basilique du Sacré Cœur
 - La chapelle de la Visitation
 - La chapelle Saint Jean
 - La chapelle La Colombière
 - Le parc des chapelains (chemin de croix, diorama)

 
 - L'heure Sainte
 - Garde d'honneur du Sacré Cœur de Jésus
 Sainte Marguerite-Marie Alacoque - Sainte Marguerite-Marie Alacoque

Verosvres : Maison natale de Marguerite-Marie Alacoque
Verosvres
- Maison natale
- Château de Corcheval
- Église

Charolles : Couvent des Clarisses
Charolles
- Couvent des religieuses de Sainte Claire
  - Claude La Colombière

Bienheureuse Maria Droste ou Marie du Divin Cœur de Jésus, sœur de la Charité du Bon Pasteur à Porto au Portugal († 1899)


ou Marie du Divin Cœur de Jésus

- Sainte Jeanne-Françoise de Chantal
- Saint François de Sales
Le Sacré-Cœur de Jésus
 - Le Sacré Cœur de Jésus
 - Fête du Sacré-Cœur
- Les prières
 - Règlement des familles consacrées au Sacré Cœur
 - Les 12 promesses de Notre Seigneur aux dévots de son Sacré Cœur
 - Livre "Cœur à cœur avec Jésus"
 - Livre "De la dévotion au Sacré-Cœur de Jésus"
- Le premier vendredi de chaque mois





































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